jeudi 28 mars 2019

Jérôme Schneider




Jérôme Schneider est né en 1974 en Lorraine et habitant à Fontenay sous bois.

" Dans un paysage tantôt bucolique, tantôt chaotique, gambadant à travers les vastes forêts et en rêvassant dans la campagne, il se revoit encore gamin, jouant au-dessus d’un crassier. Son univers, c’est aussi le vieux tas de ferraille et les paniers en osier, près de la vieille roulotte démontée, endormie dans  un box, au fond de la cour de ses grands-parents… Au loin il y a ces vieilles usines rouillées, la plupart abandonnées, telles les vestiges d’une industrie autrefois prospère… Sous un ciel souvent gris de fumée et un peu triste… Mais au-dessus, le soleil brille quand même. Il y a aussi ses différentes rencontres, ses multiples boulots et ses voyages… Tout ceci a fortement influencé son œuvre."




Artiste éclectique, il n’a pas peur d’explorer différents horizons, de l’abstrait au figuratif… Utilisant l’acrylique, l’huile, le pastel et l’encre de Chine, le papier, le carton toilé et les châssis… Tout est bon pour qu’il puisse s’exprimer et faire vivre sa créativité !… Une chose est sûre, toutes ses œuvres sortent de son imaginaire…





Le monolithe.



Croque la vie. 



Bien entendu, les sources d’inspiration ne manquent pas, que ce soit les différents paysages, les comportements humains, les animaux, l’environnement urbain, ainsi que des artistes tels que Jérômce Bosch ou Le Caravage entre autres qui l’ont fortement marqué… 
Sans oublier aussi l’art africain ou des autres continents, la figuration libre des années 80 et la bande dessinée… Tout ceci à beaucoup participé a la vision de l’artiste…  Chaque visiteur, pourra ensuite, avec sa propre liberté d’interprétation et son ressenti, voyager dans ces différents univers. 
Et c’est cela le plus important à ses yeux…





Totem















dimanche 15 mars 2015

Judith Leister



1633

Nicolas














Rita


 l'Atelier de Rita  


vers plus de fluidifié et d'abstraction lyrique


en allant vers Chu...


   Rita  cherche les secrets  questionnant les œuvres des Maîtres dans les musées ; Gabriel Klasmer, et en particulier Chu teh Chun, elle met sa maîtrise de la technique picturale au service de la poésie et du sensible.




 Dans l'abstraction résolument, elle remet régulièrement son art en question, la lumière dans ses métamorphoses donne à l’œuvre son unité.

décembre 2014





toujours sur les bancs de l'école des peintres, elle y travaille


au crayon

janvier 2014

mardi 18 décembre 2012